à capter de toutes "URGENCES" ce dimanche
nous ne comprenons pas que nos petits camarades d'Erasme,ignorent ,cette série,trés belge,
il n'y a pas que Dr House dans la vie!!
nous avions déja attiré votre attention sur la tendresse ,la délicatesse, avec laquelle ils avaient croqué le portrait d " Evelyn"
nous sauvegardons un copié/collé des commentaires de "Télérama" sur ces 2 émissions, en commentaire,ils vont disparaitrent,bien sur
2 commentaires:
Proposé par Marco Lamensch et Jean Libon. Documentaire (2/2) d'Anne-Marie Avouac (France, 2007). 50 mn. Inédit. Un château n'a pas de prix. Elle a beau frayer avec des huiles, Evelyn est restée très simple... lexicalement. « Oh, bonjour les bébés, comme ils sont chouchous », s'exclame-t-elle dans la pouponnière de l'orphelinat. « Oh, bonjour le n'âne », salue-t-elle, croisant du haut de son 4x4 rutilant un bourricot sénégalais. N'hésitant jamais à mettre au service de ses protégés africains son audace de décideuse. Heureusement, son empathie est tempérée par ses amis blancs, plus rompus aux négoces outre-Méditerranée. Ainsi lors de la visite d'ateliers utilisant des teintures bio, l'un d'eux de recadrer le contremaître noir : « Il faut réguler la participation aux baptêmes, aux enterrements. Il faut tenir compte du “just in time”. Quand la tradition paralyse, la tradition doit être réformée. » Qu'importe, Evelyn s'obstine. Et il est vrai que ses démarches auprès d'un hôpital bruxellois pour obtenir matériel et médicaments sont facilitées par le marivaudage qu'elle entretient avec le mandarin local qui ne manque pas de lui montrer ses estampes japonaises, pardon, sa collection africaine de statues « atteintes de parasitage des testicules ». Reste à éviter que, comme précédemment, ses envois caritatifs ne soient bloqués, ou détournés, par la douane sénégalaise. Face à cet écueil, la ministre censée lui faciliter la tâche lance : « Comme on m'avait zappée dans la chaîne en mettant de nouveaux amis, les nouveaux amis se sont bien servis. » Laissant Evelyn coite. Et, cela, c'est reposant. Marie Cailletet
Marie Cailletet
Strip-tease La position du gynéco. Proposé par Marco Lamensch et Jean Libon. Réalisation : André François (Belgique, 2006)
Proposé par Marco Lamensch et Jean Libon. Réalisation : André François (Belgique, 2006). 60 mn. Inédit. Ça commence comme une scène de Strip-tease : jambes offertes, traits tirés, une femme est sur le point d'accoucher. Mais le papa manque. Parti chercher des cigarettes voilà une demi-heure. La maman, la sage-femme, le docteur, le bébé : tous l'attendent. C'est pas pratique, faut dire, ces tabacs installés à des plombes des maternités ! Le reste du magazine est plus décevant parce que déjà maintes fois vu. Pas moins émouvant, pas moins prenant, mais moins Strip-tease... On suit une grossesse à risques. A l'échographie, le gynéco est alerté par la grosseur du cou du foetus. Mais impossible de faire un diagnostic plus approfondi. Les hypothèses virevoltent, les examens restent muets, les médecins butent. On a la confirmation du sexe de l'enfant : un garçon. « Ça inverserait le diagnostic d'un syndrome de Turner et d'un chromosome X avec malformation ; à moins que ce soit une mosaïque... mais ça semblerait étonnant. » Jour après jour, le professeur adapte sa stratégie aux résultats des examens. L'enfant vivra-t-il ? La caméra montre des médecins aux prises avec le doute. La science n'est pas omnisciente, la technologie n'est pas toute-puissante, les docteurs sont humains... et Strip-tease fait semblant de découvrir l'eau chaude. Florence Broizat
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